30 juin 2010

J'IRAIS BRÛLER SUR VOS TOMBES.

Si il existait un poisson-piano, il serait comme elle.

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Coups aux génies. Marasmes défligeants. DERFERLANTE. Tartozaïres pas d'illusions non. Des éclats de verre dans les lèvres. Tout perdre et les affliges mais sans pitié terreur, Mange-moi au ventre et crache les arraches. Je tuerais. Attentats fracassants rue des étoiles mortes. J'Y AI VU DES COMETES. Cascade de phonèmes dans la nuit sent le jour. CLIC. Pas de paradrap sur mes écorches. Petites chambres de fin du monde, enfants perdus inventent l'Innomable. Perdu pied ils nous ont parqués dans une boîte pas à mouton matelassée avec que du mou à s'enfoncer quand on cogne la tête contre les murs.On cherche encore des lucarnes. Bancals, bouffés par la trouille c'est même plus guillotine tellement que c'en est explose-synapses. Fractures de vie rouge-bandit. Échardes, pochards, blousons-noirs, brisures apathiques échaudées sans lendemains. CLAC.

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HÉLICROCHEZ.